jeudi 30 mai 2013

Simulations NBA sur internet




II existe des simulations NBA où lorsqu'il y a encore des places de disponible, un internaute peut (gratuitement) prendre en charge la gestion d'une franchise.

Ces simulations consistent à gérer une franchise : échange de joueurs, stratégie, choix de draft, signatures ou ressignatures de joueurs en respectant le salary cap et même déménager une franchise...

Ces diverses simus sont actuellement à différentes époques de la NBA.

Fans de NBA, vous "rêvez" de gérer une équipe en particulier ? diriger virtuellement des joueurs comme Tony Parker, Kobe Bryant, LeBron James, Kevin Durant ou encore Joakim Noah, Boris Diaw, Nicolas Batum, Ronny Turiaf ou Mikael Pietrus ?

Je vous invite donc à rejoindre une ou plusieurs de ces simulations afin faire ou refaire virtuellement l'histoire de la NBA sur ces 2 simulations :
   




mercredi 22 mai 2013

Mon Film du Jour : Pulp Fiction

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En 1994, le Pulp Fiction de Quentin Trantino remportait la Palme d'Or à Cannes, retour sur ce film culte.

Histoire :


L'odyssée sanglante et burlesque de petits malfrats dans la jungle de Hollywood à travers trois histoires qui s'entremêlent.


Mon avis :
 

Palme d’or à Cannes en 1994, film culte parmi les plus culte, Pulp Fiction est devenu un film mythique. Tous les superlatifs ne suffiraient pas à dire à quel point ce film est un chef d’œuvre, à quel point il est inoubliable et grandiose. Quentin Tarantino, après Reservoir Dogs un premier film très réussit, signe pour son deuxième film seulement un chef d’œuvre. Le genre de film que l'on ne voit pas souvent. Les facteurs d'une tel perfection, sans doute déjà le casting, Uma Turman, John Travolta, Bruce Willis, Samuel L.Jackson…



Aussi la réalisation parfaite, ce système de petites histoires, qui au final n'en font qu'une et qui s'entrecroise pour se donner du sens. Aussi, les clichés (La fièvre du samedi soir par exemple, avec la désormais mythique scène de danse entre Travolta et Turman). La musique de ce film avec le célébrissime "Misirlou" générique du début ou bien le superbe "Girl, you’ll be a woman soon" du groupe Urge OverkillEt puis enfin: l'esprit du film, Tarantino est sans doute l'un des plus grand cinéaste de notre époque et avec Pulp Fiction, il s'imposa définitivement, on retrouve dans ce Pulp Fiction l'esprit de Reservoir Dogs, cet esprit cynique, cet humour extrêmement noir, ce monde dépourvu de tout idéologie du bien. Car dans Pulp Fiction, la violence, sans être gratuite, n'est en aucun cas dévouer au bien, tous les personnages sans exception sont mauvais, des mafiosos, des dealers...



Pulp Fiction est pour moi un film culte, un chef d’œuvre inoubliable qui restera un de mes films préféré.





L’histoire de Pulp Fiction :*


Au départ, trois intrigues principales s’entrecroisent :

- un jeune couple paumé (Tim Roth et Amanda Plummer) est sur le point de dévaliser un petit snack.
- un boxeur (Bruce Willis) sur le déclin va livrer son dernier combat. Un gangster un peu véreux (Ving Rhames) l’enjoint à se coucher contre monnaie sonnante et trébuchante.
- Un duo d’hommes de main (John Travolta et Samuel L Jackson) va régler son compte à trois dealers de petite envergure qui ont essayé d’arnaquer leur boss.
Jusque là, c’est assez simple. Là où ça se complique évidemment, c’est que les personnages se rencontrent et interagissent entre eux. S’additionnent également l’épouse du gangster complètement junkie (Uma Thurman), la petite amie du boxeur (Maria de Medeiros), des prêteurs sur gage SM (euh… "Sadic Cop" et "Black Beard Nasty"), un dealer rangé (Eric Stolz) et sa femme piercée (Rosanna Arquette), un mystérieux faiseur de miracles (Harvey Keitel).


1) L’esprit « série B »

Quentin Tarantino ne cesse de crier sur tous les toits qu’il regarde trois films « série B » tous les jours de sa vie. Une série B se caractérise par un esprit loufoque, du grotesque assumé et des délires inoubliables. En gros, ce n’est pas un film « sérieux », mais un gros n’importe quoi contrôlé (quoi que…). D’un autre côté, les séries B ont au moins le mérite d’avoir des fans hardcore, rentrés dans le délire, et connaissant les répliques cultes par cœur. Dans un sens, « Les Tontons Flingueurs » m’a toujours fait penser à LA série B française ultime. Disons que la plus connue est certainement le «Rocky Horror Picture Show», bien connu des cinéphiles fans de GROS n’importe quoi. Bref, Pulp Fiction se présente également sous l’étiquette « Série B ». Ce qui donne lieu donc à des gros délires, à condition donc que l’on rentre bien dans l’esprit du film.


2) Des situations improbables

Ne nous le cachons pas, ce film tient si bien debout grâce à un scénario en béton armé. Le fil de l’histoire n’est pas trop chronologique (sinon, tout le monde comprendrait tout du premier coup, pas drôle !) et les entrecroisements défilent à vitesse grand V. Résultat, un personnage mourant au milieu du film est encore vivant 10 minutes après. Les situations ne sont pas forcément si improbables que ça si vous avez déjà regardé des films de gangster, ou de boxeur paumé, ou de dealers, mais disons que Tarantino rajoute un je-ne-sais-quoi de délire supplémentaire dans les situations pour leur donner un esprit irrésistiblement délirant. Le gangster récitant un psaume avant de dessouder ses victimes, le boxeur et le gangster aux prises avec des prêteurs sur gage SM, la « course poursuite » précédant cet épisode entre le boxeur et le gangster victimes d’un accident de voiture, le twist entre Miss Marcellus Wallace et Travolta, avec Mr Chuck Berry à la baguette… Ainsi, le film regorge de situations carrément délirantes.


3) Des dialogues cultissimes

C’est un euphémisme ! Le film est basé sur le scénario et les dialogues. Tarantino sait écrire des dialogues vraiment cultes, parfois drôles, parfois intenses, mais souvent drôles, en fait. Alors, la fameuse discussion sur lecunnilingus, la réplique "SM de mes deux qui va salement morflé avec mes deux junkies super féroces" et d’autres, c’est de l’or en barre. Et puis surtout, ne l’oublions pas, les acteurs de film sont vraiment excellant. Qu’ils parlent ou qu’ils ne parlent pas. Leurs attitudes, la manière qu’ils ont de réagir physiquement aux répliques de leur interlocuteur (style Bruce Willis face à Marcellus Wallace, ou Travolta face à Uma Thurman) font qu’on rentre encore plus dans le délire. Je ne sais pas comment Tarantino a motivé ses acteurs pour les faire apparaître si particulièrement à l'écran, mais il s'y est bien pris.




Bref si vous n’avez pas encore vu Pulp Fiction courez le louer ou l’acheter !!!


*D’après : http://www.ciao.fr/Pulp_fiction

vendredi 17 mai 2013

Coming Out #MariagePourTous



Vous êtes contre le Mariage et l'adoption pour les couples homosexuels ?

N'ayez pas peur !



dimanche 5 mai 2013

La Photo du Dimanche #JasonCollins


«Je suis un pivot NBA de 34 ans. Je suis noir. Et je suis gay, a déclaré Jason Collins dans une interview accordée à Sports IllustratedJe n'avais pas pour vocation d'être le premier athlète ouvertement gay évoluant dans l'un des sports américains majeurs. Mais puisque c'est le cas, je suis heureux d'ouvrir la conversation. J'aurais aimé ne pas être comme l'enfant qui lève la main en classe pour dire : "je suis différent". Si j'avais eu à choisir, quelqu'un d'autre l'aurait déjà fait. Mais ce n'est pas le cas, voilà pourquoi je lève la main.»    

C'est la première fois, aux Etats-Unis, qu'un sportif de haut niveau en activité dans l'une des quatre grandes ligues professionnelles (basket, football américain, base-ball et hockey) révèle son homosexualité. 

En agissant ainsi, le pivot des Washington Wizards, Jason Collins, 34 ans, a déclenché une tempête de commentaires, mais aussi d'encouragements et de félicitations de plusieurs joueurs NBA dont Kobe Bryant et Tony Parker – au premier rang desquelles celles du couple Obama. 


samedi 4 mai 2013

NBA : LeBron James MVP de la saison 2012/2013




Le joueur du Miami Heat LeBron James va être nommé MVP (meilleur joueur) de la saison de NBA pour la quatrième fois de sa carrière a annonçé la chaîne sportive ESPN. 
Citant des sources au sein de la Ligue, ESPN a annoncé que «King James» allait rejoindre au palmarès une légende de la NBA comme Wilt Chamberlain, sacré également quatre fois MVP de la saison. Seuls Bill Russell (5), Michael Jordan (5) et Kareem Abdul-Jabbar (6) ont fait mieux.
James, 28 ans, va remporter cette récompense, décernée à l'issue d'un vote de 120 journalistes, pour la quatrième fois en cinq saisons (2009 et 2010 avec les Cleveland Cavaliers, 2012 et 2013 avec Miami). 
Pour sa dixième saison en NBA, James a marqué 26,8 points, pris 8 rebonds, délivré 7,3 passes décisives, réalisé 1,7 interception et 1 contre en moyenne lors des 76 matches qu'il a disputés en saison régulière.
Enorme.


mercredi 1 mai 2013

Mon Film du Jour : "La Conquête"

http://files.fluctuat.net/images/cms_flu/8/7/6/8/48678/61177.jpg




L'Histoire :

27 avril 2002 – 6 mai 2007

Entre ces deux dates, l’irrésistible ascension de Nicolas Sarkozy à la magistrature suprême racontée à la façon d’un thriller. 
Au-delà du cas Sarkozy, la réalité dans tous ses aspects des tenants et des aboutissants de la conquête du pouvoir.


Mon avis :

J'ai passé un très bon moment devant ce film et j'ai souvent rigolé. 
 Le risque du film était de tomber dans la caricature est bien là c'est éviter. Le jeu des acteurs est effectué tout dans la finesse et la ressemblance avec les vrais acteurs de la vie politique est très réussite.
Une mention spéciale pour Dennis Polalydes (Nicolas Sarkozy), Bernard Lecoq (Bernard Chirac), Samuel Labarthe (Dominique de Villepin) et surtout Florence Pernel (Cécilia Sarkozy) qui sont très bons dans leur rôle respectif.
Dans ce film, les coups bas, les petites phrases assassinent, rien ne nous est épargné et on se rend compte de la dureté du pouvoir et de l'hypocrisie du monde politique.
Montrer le côté cour de l'élection de Nicolas Sarkozy était un pari risqué, ici plutôt réussi.
Etant très branché politique j'ai pris beaucoup de plaisir à voir "La Conquète".

A lire les avis de Gabale et Sarkofrance sur ce film.

lien : hern